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en VIDÉOS

Formations en accès libre sous forme de dialogues
entre Michel Laloux et Stéphane Lejoly

Cliquez sur les images pour visionner les vidéos !

01

Rencontre n°1
Rencontre n°1

Et si la société civile était l'État ?

Et si nous prenions enfin le temps de penser notre avenir commun autrement ? Lors de cette première rencontre, nous commençons par l’État. Que devrait être son rôle dans une société équilibrée et viable ? L’idée que nous avons de l’État est-elle encore compatible avec une véritable démocratie, celle de la société civile ? Comment changer vraiment de modèle, sans faire une République de plus, une sixième, puis une septième, puis… ? Et si la société civile était l’État ? Et si la représentativité était le plus grand leurre ? Osons traiter ces questions sur le fond. Faisons du neuf, avec du neuf.
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03

Rencontre n°3
Rencontre n°3

Le droit à l'expérimentation sociétale

Sommes-nous condamnés à ce que les formes de gouvernance imposent que les transformations sociales et sociétales doivent presque toujours être impulsées et décidées depuis le haut, c’est-à-dire bien souvent par un pouvoir exécutif centralisé ? Or tout ce qui est vraiment nouveau jaillit sur le terrain, à partir des impulsions et des projets de ceux qui font. Il suffit de regarder ce qui se passe au sein de la société civile pour le constater. Les initiatives nouvelles foisonnent, mais ne peuvent se développer qu’en se heurtant à l’inertie ou même à l’opposition des institutions. Pour dépasser cet état de fait, nous imaginons dans cette vidéo des outils concrets qui rendent effectif un DROIT À L’EXPÉRIMENTATION SOCIÉTALE géré PAR les acteurs de la société civile, ceux que nous appelons les Civiliens.
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05

Rencontre n°5
Rencontre n°5

Et si ce que nous croyons être l'économie, n'était justement pas l'économie ?

Lors de cette cinquième Rencontre Civilienne, et lors des suivantes aussi, nous verrons que la pathologie du covid-19 va aussi accentuer les pathologies… de l’économie ! ​ Remontant à la source de ce que serait une économie en accord avec l’humain et la nature, nous découvrirons que ce que nous croyons être l’économie … n’est justement pas l’économie, mais son image maladive et déformée jusqu’à la caricature. Ce point de vue tout à fait inhabituel soulèvera un grand nombre de questions. Il nous bousculera, voire nous bouleversera, nous préparant ainsi à comprendre et à agir au sein de l’économie selon sa nature véritable. Alors pourront naître des formes de structuration de l’économie qui s’accorderont avec une démarche civilienne.
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07

Rencontre n°7
Rencontre n°7

Les actions, une question capitale

Depuis la chute du rideau de fer, beaucoup considèrent que la question de la propriété du capital est définitivement tranchée et que le capitalisme est le seul système efficace. Autrement dit, la problématique de la propriété des moyens de production a été évacuée du débat «main stream». Cette démission de la pensée économique vient d’un épuisement des arguments traditionnels enfermés dans une approche de justice sociale planant au-dessus des phénomènes de l’économie réelle. Lors de cette septième Rencontre Civilienne, il s’agira de sortir de l’antagonisme entre travailleurs et détenteurs du capital et d’élargir la pensée à la globalité de l’économie. Pour le faire, nous commencerons par regarder une anomalie de la comptabilité des sociétés anonymes.
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09

Rencontre n°9
Rencontre n°9

Quel rapport entre la gouvernance des entreprises et la société civile ?

S’il n’y a plus d’actionnaires dans les entreprises… qui gouverne l’entreprise ? Sur quelles bases désigne-t-on telle ou telle personne ? Et si leur but n'est plus de générer un maximum de profit pour les propriétaires d'actions, quel but (d'intérêt général) leur donner, et comment y parvenir ? ​ Nous aborderons des méthodes de travail, de prise de décision, voire de constitution des entreprises sur lesquelles s’appuyer pour répondre à ces questions.
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11

Rencontre n°11
Rencontre n°11

Les trois qualités de la monnaie

Le fait de reconnaitre la monnaie comme une comptabilité (voir Rencontre Civilienne 10) aura de nombreuses conséquences sur l’économie et la vie sociale. Cette reconnaissance est la base pour sortir de la financiarisation et se tourner résolument vers le développement sain de l’économie réelle. ​ Les graves crises financières montrent qu'il faut une autre conception de l’argent de laquelle découlera la forme des organismes monétaires. Il apparaîtra alors qu’il est nécessaire d’avoir non pas deux, mais trois types d’institutions répondant aux trois qualités de la monnaie. ​ Lors de la Rencontre Civilienne 11, nous aborderons le premier type d’institution monétaire répondant aux besoins de services de paiements.
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13

Rencontre n°13
Rencontre n°13

La monnaie de prêt ET les Instituts de financement - Partie 2

Lors de la 12ème rencontre, nous avons vu que le prêt est une forme d’anticipation de l’activité d’une entreprise. Si, la Monnaie de Paiement est un reflet comptable de ce qu’achète et vend une entreprise, la Monnaie de Prêt devance ces opérations. La comptabilité le reflète également. Ce qu’elle reflète, c’est le potentiel de réussite d’un projet. En ce sens, elle marque la confiance dans l’avenir. ​ Le but de cette treizième Rencontre Civilienne est d’imaginer comment la société civile pourrait prendre la main sur la Monnaie de Prêt pour la mettre au service de l’économie réelle. C’est seulement en développant une méthodologie conforme à la monnaie elle-même que nous pourrons y parvenir.
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15

Rencontre n°15
Rencontre n°15

Le travail et l'être humain

Lors de la 15ème Rencontre Civilienne, nous allons donner toute sa dimension humaine au travail. Nous commencerons par nous demander : « Pour qui est-ce que je travaille ? ». Cette question anodine nous conduira beaucoup plus loin qu’il n’y paraît, au premier abord. Elle nous fera voir à quel point nous nous sommes éloignés de l’humain en parlant du marché du travail, c’est-à-dire en faisant entrer celui-ci dans la sphère de l’économie. Or, aussi étonnant que cela puisse paraitre, le travail ne fait pas partie de l’économie, sinon il devient une marchandise. Sur cette base, nous pourrons aborder deux autres questions essentielles : ·  Peut-on parler d’un droit au travail ? ·  Doit-on alors envisager un devoir de travail ?
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17

Rencontre n°17
Rencontre n°17

Travail, capital et retraites

Avec les conceptions traditionnelles des charges sociales, il sera toujours impossible de trouver une solution à la question des retraites. Aucune réforme ne pourra donner satisfaction. Car le nombre de retraités augmente et les progrès technologiques à venir feront baisser le nombre de cotisants. Augmenter l’âge de départ à la retraite se révèlera comme un leurre. Il devient donc nécessaire d’aborder les charges sociales et les retraites d’une façon qui corresponde aux besoins des retraités, d’une part, à la vie économique, d’autre part. Ceci impliquera une conception entièrement différente du capital et de la répartition des bénéfices. Nous en avons déjà présenté certains aspects lors de la Rencontre Civilienne 8. Nous irons plus loin dans la présente Rencontre. Nous verrons que, dans une économie saine, un déficit des caisses de retraites est impossible. Si c’est le cas aujourd’hui, nous devons remettre en cause la conception habituelle de toutes les cotisations sociales.
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18B

Rencontre n°18B
Rencontre n°18B

Travail et rémunération (B)

Dans l’histoire de l’humanité, le salariat est une pratique très récente dont on peut se demander s’il correspond à une économie saine, une économie qui serait centrée sur l’humain. Pour répondre à cette question, il est utile de considérer la situation du travailleur indépendant telle que celle de l’artisan, lequel se rémunère à partir de ce qui reste lorsqu’il a payé toutes ses charges. Lors de cette Rencontre Civilienne, nous verrons comment étendre cette notion à l’ensemble de l’économie, ce qui conduira à voir l’aberration consistant à considérer que le salarié est une charge pour l’entreprise. Se posera alors la question de la relation juridique liant un collaborateur à l’entreprise dans laquelle il est actif professionnellement. Nous ferons la distinction entre le fait de travailler et celui d’être rémunéré. Ce qui amènera une notion révolutionnaire, celle du double contrat : l’un pour la collaboration avec l’entreprise, l’autre pour la rémunération. Ce dernier étant établi avec un nouveau type d’organisme que nous appellerons Fonds de Rémunération. Comment sont organisés ces Fonds, comment permettent-ils une sécurité et une libération de la relation de dépendance qu’exerce le salariat ? C’est ce que nous regarderons lors de cette 18ème Rencontre Civilienne. Nous aurons ainsi une méthode pour que l’être humain ne soit plus contraint de se vendre sur le marché du travail. Cette cinquième Rencontre Civilienne consacrée au thème du travail ne peut être séparée des quatre qui l’ont précédée. Faire sortir le travail de l’économie suppose d’intégrer les différents aspects que nous aurons ainsi abordés au cours de ces cinq dernières rencontres. Cette rencontre civilienne est scindée en deux parties : la partie (A) le 15/01/2023 et la partie (B) le 29/01/2023.
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20A.B.C

Rencontre n°20 A, B et C
Rencontre n°20 A, B et C

Foncier et immobilier ET spécial agriculture !

Les terrains, les maisons, les appartements sont ce qui est le plus soumis à la spéculation. Ils participent fortement à la financiarisation de l’économie. D’abord par l’effet de renchérissement provoqué par les intérêts sur les emprunts. Et aussi par le jeu de l’offre et de la demande qui peut multiplier artificiellement le prix d’un bien, sans qu’un facteur de l’économie réelle ne soit intervenu. Ainsi, LE FONCIER ET L’IMMOBILIER DÉTOURNENT vers eux UNE GRANDE PART DE LA RICHESSE PRODUITE PAR L’ACTIVITÉ HUMAINE. Comment le phénomène se produit-il ? Existe-t-il des perspectives qui sans remettre en cause la propriété, la font évoluer dans un sens qui permet de dé-marchandiser le foncier et l’immobilier, tout en conservant le caractère de responsabilisation que permet la propriété ? Si oui, lesquelles ?
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02

Rencontre n°2
Rencontre n°2

Les services publics de la société civile

Si nous interrogeons les faits eux-mêmes, nous nous apercevrons bientôt que dans de nombreux domaines de la vie sociale nous pouvons tout à fait nous passer d’un Gouvernement central (et de ses Ministres !). C’est le constat que nous avons fait dans la première vidéo des « Rencontres Civiliennes » (www.civiliens.info/01). Nous aurions au contraire tous grand avantage à ce que les acteurs de la société civile exécutent EUX-MÊMES la plupart des tâches dévolues actuellement au pouvoir exécutif de l’État. Il s'agirait de REMETTRE LE POUVOIR EXÉCUTIF entre LEURS MAINS. Nous avons ainsi jeté les bases conceptuelles rendant possible une transformation fondamentale de l'État. Toutefois : Comment ? Dans quelles limites ? Avec quelles règles et garde-fous ? Nous abordons ces questions dans cette vidéo en détaillant le mode de fonctionnement d’un nouveau type de service public : les SERVICES PUBLICS de la SOCIÉTÉ CIVILE, une forme d'organisation ni centralisée, ni décentralisée.
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04

Rencontre n°4
Rencontre n°4

Aux limites de nos «démocraties»

Le Covid 19 va-t-il nous pousser vers une fracture démocratique ? Si oui, comment aborder une telle question au niveau d’un pays ? ​ Ce virus ne s’attaque pas seulement au corps humain, mais également au corps social dont il révèle les faiblesses. Par le jeu des majorités, nos «démocraties» permettent qu’une partie de la population impose des choix à l’autre partie. Dans certains domaines, on peut le comprendre et c’est même une façon commode de trancher certains choix. Mais lorsque l’intégrité physique de la personne est concernée, peut-on procéder de la même façon ? ​ Nous verrons que la difficulté systémique générée par la conception habituelle de la démocratie va nous entraîner dans une crise d’un nouveau type et dont on pressent l’étendue...
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06

Rencontre n°6
Rencontre n°6

Entre mondiale et locale, l'économie

Beaucoup voient la mondialisation comme la source de la désorganisation de l’économie. Ils voient dans les échanges locaux le remède principal. Mais cette opposition mondial/local n’est-elle-pas considérée au travers de notre vision de l’économie laquelle est déformée par la maladie qui la ronge ? ​ Le slogan Penser global, agir local a fait le tour du monde et montré une aspiration à de nouvelles relations économiques. Mais il peut aussi être inversé : Penser local, agir global.Comment le comprendre alors ? ​ Nous découvrirons qu'un certainpenser local induit la nécessité d’un agir global, c’est-à-dire que nous devons investir le macro-social pour y faire les transformations qui sont nécessaires à une vie locale saine.
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08

Rencontre n°8
Rencontre n°8

À qui appartiennent les bénéfices de l'entreprise ?

Si le capital dont les entreprises ont besoin est apporté intégralement sous la forme de prêts (et non plus sous la forme d'actions), à qui appartiennent les bénéfices de l'entreprise ? Autrement dit, s’il n’y avait plus d’actionnaires, où irait la part des bénéfices qui leur était versée ? ​ Nous verrons qu’il y a 7 facteurs qui, ensemble, sont indispensables à la formation de ces bénéfices et que c’est eux qui, dans une économie saine, devraient être rémunérés en se répartissant les bénéfices.
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10

Rencontre n°10
Rencontre n°10

La véritable nature de l'argent ?

Le système monétaire en est-il au stade final précédant son effondrement, comme le pensent de nombreux économistes ? Une Grande Réinitialisation (Great Reset) se profilerait-elle pour les années à venir ? ​ Et les nombreuses crises qui ont éclaté depuis 2008, ne sont-elles que l’aboutissement inévitable d’une conception anachronique de l’argent, qui s’est renforcée tout au long du XX° siècle ? ​ La santé de l’économie et de la vie sociale dépend, en grande partie, du fait que nous parvenions à trouver la vraie nature de l’argent. Nous découvrirons qu'elle n’est pas une chose, pas une marchandise.
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12

Rencontre n°12
Rencontre n°12

La monnaie de prêt ET les Instituts de financement - Partie 1

La deuxième qualité de la monnaie, le prêt, induit une organisation différente de celle de la monnaie de paiement. Les institutions qui en découlent ne sont pas dans la même dynamique que les Instituts de Paiements dont nous avons parlé lors de la Rencontre Civilienne 11. ​ Pour clarifier la nature du prêt, nous commencerons par aborder ces questions: Quel est le rôle de l’intérêt dans une économie en bonne santé ? Quelle est la nature du prêt et en quoi est-il nécessaire au fonctionnement sain de l’économie ? Peut-on parler de création monétaire et si oui, à quel stade est-elle utile à l’économie ?
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14

Rencontre n°14
Rencontre n°14

La monnaie de contribution

Au cours de la 14ème Rencontre Civilienne, nous tenterons de donner à l’économie non-marchande ses véritables fondements et nous verrons qu’elle peut devenir LE facteur d’équilibre et de santé de l’économie marchande. Autrement dit, elle se révèlera comme l’antipoison à l’économie financière. ​ De là naitra une toute nouvelle conception de l’impôt et du contribuable, lequel jouera un rôle clé dans la répartition de la Monnaie de Contribution. C’est avec cette troisième qualité de la monnaie que la civilianité donnera sa pleine mesure et permettra une démocratie effective.
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16

Rencontre n°16
Rencontre n°16

Travail et économie

Cette rencontre nous permettra de saisir, de façon vivante, tout le spectre des métiers, depuis le secteur primaire (par exemple, l’agriculture) jusqu’au secteur tertiaire (c’est-à-dire : les services), avec, entre les deux, toute la production artisanale et industrielle qui constitue le secteur secondaire. Nous verrons alors beaucoup mieux les différentes façons d’ajouter de la valeur économique, selon le secteur dans lequel on est actif et l’endroit où l’on se situe dans le spectre des métiers. Dans tous les cas, le travail est le facteur déterminant. Sur cette base, il deviendra plus facile de situer l’économie marchande et la non-marchande. Il est indispensable à une santé de l’économie de donner sa juste place à l’économie non-marchande. C’est ce que nous voulons faire au cours de cette 16ème Rencontre civilienne.
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18A

Rencontre n° 18A
Rencontre n° 18A

Travail et rémunération (A)

Dans l’histoire de l’humanité, le salariat est une pratique très récente dont on peut se demander s’il correspond à une économie saine, une économie qui serait centrée sur l’humain. Pour répondre à cette question, il est utile de considérer la situation du travailleur indépendant telle que celle de l’artisan, lequel se rémunère à partir de ce qui reste lorsqu’il a payé toutes ses charges. Lors de cette Rencontre Civilienne, nous verrons comment étendre cette notion à l’ensemble de l’économie, ce qui conduira à voir l’aberration consistant à considérer que le salarié est une charge pour l’entreprise. Se posera alors la question de la relation juridique liant un collaborateur à l’entreprise dans laquelle il est actif professionnellement. Nous ferons la distinction entre le fait de travailler et celui d’être rémunéré. Ce qui amènera une notion révolutionnaire, celle du double contrat : l’un pour la collaboration avec l’entreprise, l’autre pour la rémunération. Ce dernier étant établi avec un nouveau type d’organisme que nous appellerons Fonds de Rémunération. Comment sont organisés ces Fonds, comment permettent-ils une sécurité et une libération de la relation de dépendance qu’exerce le salariat ? C’est ce que nous regarderons lors de cette 18ème Rencontre Civilienne. Nous aurons ainsi une méthode pour que l’être humain ne soit plus contraint de se vendre sur le marché du travail. Cette cinquième Rencontre Civilienne consacrée au thème du travail ne peut être séparée des quatre qui l’ont précédée. Faire sortir le travail de l’économie suppose d’intégrer les différents aspects que nous aurons ainsi abordés au cours de ces cinq dernières rencontres. Cette rencontre civilienne est scindée en deux parties : la partie (A) le 15/01/2023 et la partie (B) le 29/01/2023.
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19A.B

Rencontre 19A et 19B
Rencontre 19A et 19B

Fonds de rémunération et monnaie de contribution (A) et (B)

Lors de la Rencontre Civilienne 14, nous avons découvert la troisième qualité de la monnaie, appelée Monnaie de Contribution, laquelle provient des excédents des entreprises et de l’épargne inactive des particuliers. Il en découlait une transformation considérable de l’impôtqui permettrait que celui-ci ne soit plus géré par l’État central, mais par des organismes de la société civile que nous appelons les Fonds de Monnaie de Contribution. Lors de la présente Rencontre, nous entrerons plus dans le détail de l’organisation de leur fonctionnement. Nous découvrirons qu’il s’agira là d’une autre forme de service public qui sera gérée par un État non-central (ce qui ne veut pas dire décentralisé). Ce sont des Fonds de Monnaie de Contribution spécialement dédiés qui auront le rôle de collecter les charges sociales et de faire en sorte qu’elles soient utilisées selon leurs objectifs. Lors de la Rencontre Civilienne 18, nous les avons appelés Fonds de Rémunération. Les acteurs de la société civile, c’est-à-dire les Civiliens, auront un droit de regard permanent sur la bonne circulation de cette troisième forme de monnaie. À l’issue de cette Rencontre Civilienne, nous aurons une vue beaucoup plus précise de la transformation de l’État. Il ne sera plus en haut de la pyramide, redistribuant l’impôt selon des critères souvent confus et teintés d’intérêts politiques et électoraux. Il ne jouera plus un rôle exécutif dans ce domaine. C’est la société civile qui sera devenue un pouvoir exécutif pluriel. ​ La rencontre civilienne 19 est donc scindée en deux parties : la partie (A) le 12/02/2023 et la partie (B) le 26/03/2023.
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21A.B.C.D

Vidéo et rencontre n°21 A, B, C et D
Vidéo et rencontre n°21 A, B, C et D

Les Écoles de la Société Civile

Dans les pays occidentaux, l'École Publique est à la croisée des chemins. A gauche, le monopole de l'Éducation Nationale ; à droite la libéralisation et donc la marchandisation de l'éducation. Des pressions de plus en plus nettes voudraient que l'on s'oriente vers cette deuxième voie. Certains signes montrent que nous sommes déjà engagés dans une privatisation rampante du système scolaire. Elle pourrait se révéler inéluctable si nous persistons à maintenir, dans sa forme, une organisation monolithique, d'un autre âge, et qui répond de moins en moins aux besoins de la jeunesse et de la société. A la croisée des chemins, il existe pourtant une TROISIÈME VOIE, celle qui consisterait à DÉFINIR LES BASES D'UN SERVICE PUBLIC DE L'ÉDUCATION adapté à la jeunesse du 21ème siècle : les ÉCOLES DE LA SOCIÉTÉ CIVILE. Il s’agit des établissements PUBLICS gérés directement par les acteurs de l'éducation, enseignants et parents eux-mêmes. Les enseignants, éducateurs et parents auraient tout intérêt à explorer cette troisième voie. Pour avancer sur cette voie, il suffit d’accepter l’idée que le Service Public de l’éducation n’est pas immuable dans sa forme !
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