Quelques points clés abordés lors de cette rencontre
0:02:01 - Qu’entend-on par « une économie malade ? » N’avons-nous par ailleurs pas une image tout à fait déformée de ce qu’est réellement l’économie ?
0:08:35 - Partons à la recherche de la véritable image de l’économie, lorsqu’elle est en bonne santé. Or, en réalité, tout ce que nous produisons, c’est pour les autres. Et tout ce dont nous disposons, c’est produit par les autres.
0:16:49 - Par nature, l’économie est fondamentalement sociale et solidaire
0:19:11 - Une « économie » qui n’est plus sociale et solidaire, n’est plus de l’économie à proprement parler. Si ceci se produit, c’est le signe que les « macrobes » ont commencé à agir…
0:23:49 - Pour transformer les « macrobes », le meilleur moyen, c’est la connaissance : entrer dans une observation pas à pas des phénomènes eux-mêmes
0:26:59 - La maladie de l’économie apparaît toujours lorsque quelque chose qui n’est pas marchandise entre dans l’économie ; quand cette chose qui n’est pas marchandise par essence, est traitée comme s’il s’agissait d’une marchandise. C’est le cas des quatre « macrobes principaux » qui forment ce que nous appellerons la « croix de l’économie ».
0:28:51 - (1) Première branche de la croix de l’économie : le travail considéré comme une marchandise
0:32:47 - (2) Le foncier et l’immobilier traités comme des marchandises
0:40:41 - Conséquences de la marchandisation de l’immobilier
0:49:27 - (3) Le capital-action n’est pas une marchandise
0:59:04 - Les concepts que nous abordons lors des rencontres civiliennes semblent ahurissants pour la « pensée » ordinaire, car nous osons sortir complètement “out of the box”
1:06:06 - (4) La monnaie, en tant que quatrième branche de la croix de l’économie
1:09:54 - La variation de la valeur du yen, du dollar ou de l’euro d’un jour à l’autre, sont à comparer à la situation où il y aurait variation de la masse du kg ou de la longueur du mètre, d’un jour à l’autre. Il s’agit de phénomènes en réalité délirants qui conduisent directement à des pratiques spéculatives.
1:18:24 - Les questions des participants